Le Parlement numérique est sans conteste une pierre de plus à l'Etat svelte et efficace, constamment défendu par le PLRF. Au-delà des économies de papier s'additionneront de précieux gains de temps et d'argent dans le travail administratif du secrétariat du Grand Conseil, la suppression des frais de port, l'accélération du traitement des instruments parlementaires ou encore une transparence accrue pour les citoyens.
Si, pour la jeune génération, un tel changement peut paraître évident, il suscitera des réticences de la part des députés moins habitués aux outils numériques. Néanmoins, comme le prouve l’expérience valaisanne, il est possible pour tous de s'adapter aux changements. Les députés, élus du peuple, se doivent de montrer l'exemple lorsqu'il s'agit de faire des économies et de respecter notre environnment.
La collaboration entre les écoles du canton et le Grand Conseil, telle que proposée par les Jeunes libéraux-radicaux, ne peut qu'être saluée. Elle implique les étudiants dans un travail concret, utile à la démocratie, et leur donne une image moderne du Parlement cantonal. Un tel projet peut sans aucun doute convertir certains abstentionnistes en votants.
Enfin, retenons que la motion des JLRF va dans le sens voulu par le Conseil d'Etat qui a également décidé dans le cadre de son fonctionnement interne de se diriger vers une gouvernance "zéro papier".
Contacts :
Didier Castella, député, président PLRF 079 578 35 22
Savio Michellod, secrétaire PLRF, vice-président JLRF 079 793 48 65